Dix-sept pays, dont le Qatar, l'Arabie saoudite et l'Égypte, ont signé une déclaration appelant le Hamas à se désarmer et à renoncer à son contrôle de Gaza.
Ce texte de 7 pages, adopté lors d'une conférence de l'ONU sur la solution à deux États, condamne également les attaques du 7 octobre 2023. La France, co-organisatrice de la conférence, qualifie cette déclaration d'"historique et sans précédent", soulignant que "pour la première fois, des pays arabes condamnent le Hamas" et appellent à son exclusion de la gouvernance palestinienne.
Le prince Turki al-Fayçal, ancien chef des services de renseignement saoudiens a accordé un entretien télévisé dans lequel il a vivement critiqué la direction du Hamas.
L'ambassadeur des États-Unis en Israël, Mike Huckabee a déclaré :
« La France, la Grande-Bretagne, l'Irlande et l'Europe attaquent Israël, mais l'Arabie Saoudite, l'Égypte et même le Qatar exercent une pression, à juste titre, sur le Hamas ! Les otages rentreront chez eux et la guerre à Gaza prendra fin lorsque le Hamas écoutera le président Trump lorsqu'il dit que « le Hamas n'a pas d'avenir à Gaza »